Aisling baile

Nom; Aisling Baile

race : humaine

Clan; en attente de réponse pour faire partie de l’ordo annullo
( si c’est possible au vu de mon histoire si elle-même est validée bien sur ^^ !)

Rang;(idem^^)


Âge;20 ans


Pouvoir; Pyrokinésie( en attente d’approbation)


Armes: ( en attente aussi logiquement ^^ !)


Physique; jeune femme petite finement musclée Asling est l’image même de la petite poupée , blonde aux cheveux long bouclés , la peau aussi pale que la porcelaine , les yeux bleu tachetés de vaguelettes blanche…elle aime se mettre en valeur en portant serres tailles , corsets , chemiser à jabot et autre élégances dans la mesure cependant que cela ne la gène pas pour se mouvoir quand cela s’avère nécessaire…
elle arbore une étrange tache de naissance au niveau de la poitrine semblable à un impacte de balle et elle c’est fait faire à l’aube de ses 18 ans tatouer une serrure fort ouvragée entre les deux omoplates.


Psychologique; calme et docile elle fait le bonheur de ses parents adoptifs irlandais exilée au Québec, mais quand la nuit reprend ses droits sur le jour, son être se nécrose, la pale princesse de cristal se transforme en petit démon malfaisant (encor muselé au plus profond de son être, pour le moment …).
C’est avec cette double personnalité que cette jeune femme évolue à la fac comme chez elle , oscillant entre sérénité et trouble , délicatesse et brutalité… elle est solitaire et renfermer sauf pour qui sait l’apprivoiser .





Histoire;

Les unes après les autres les lumières glacées des néons d’hôpital secoués par le vent saturé d’antiseptique , laissaient par le fiévreux ballet de leur faisceaux entrevoir les silhouettes décharnées des êtres tapies dans l’ombres de leurs cages .
le murmure feutré s’échappant de leurs lèvres craquelées , les rires d’hystéries s’élevant de leurs gorges trop sèchent , le cliquetis sinistre de leurs couverts sur les barreaux crasseux de leurs cellules raisonnaient comme un millier de malédictions sur le passage du brancard maculé de sang frais…
Sur mon passage j’en ai la certitude, je les sens tout proche , je peux presque sentir le spectre décharné de leurs pensées, s’éparpillant en moi comme les flocons de neige sur les douces pleines de ma tendre Irlande…

…1: Grouille, je n’aime pas trainer ici, on la fou à la benne et on en parle plus !
…2 : Ils la sente…
…1 : Normal avec tout le sang qu’elle a perdu !
…2 : Mais non je parle de la mort , ils saluent ces pas, progressent dans son sillage pour un jour venger les leurs …
…1 : arrête tu veux ! tu me files la pétoche ! Ce ne sont que des bêtes sauvages assoiffées de sang ! Ne leurs prêtes pas une réflexion qu’ils sont incapables d’avoir !
…2 : Mais elle ?
….1 : quoi elle ?
…2 : elle n’était pas des leurs , elle était … comme nous …
…1 : non elle à mal réagit au « sunshine »
…2 : mais la brulure était toujours présente ! Et c’était sa fille, faire des expériences sur elle c’est…inhumain !
…1 : c’étais un monstre ! Montre un peu plus de foi en les dires de nos supérieurs ! c’était un monstre, peut-être différent mais un monstre ! Comme tous ceux que nous avons le devoir de tuer !
….1 : merde la benne est pleine !
…2 : qu’est ce qu’on fait ?
…1 : jette la à coté …
…2 mais elle … ne va pas être…détruite comme les autres !
…1 :l’incinérateur et en surcharge, laisse les rats s’en occuper!


Le rire tonitruant de l’infirmier raisonna dans l’aire glacé de la nuit faisant fuir les deux ou trois chats de gouttières qui festoyaient dans les poubelles de la maison-capital de l’ordro annullo de Montréal pour se graver au plus profond d’un cœur pas toute à fais arrêté …

Les barrières du temps et de la réalité se dissolurent. L’espace d’un soupire le monde perdit de sa tangibilité. Un voila tissé d’étoile gela les chimères d’un esprit trop longtemps torturé. Le souffle expirée allait s’éteindre aussi silencieusement que meurs la flamme privée d’oxygène quand le froid et le martèlement de pas sur le pavé percèrent le brouillard qui s’étirait a l’infinie. Des bras aussi puissant et glacé que l’acier dissipèrent la brume laissant filtrer quelques rayons de lune à travers ces yeux sans vie.
Le murmure glacé de l’homme retenti comme un glas dans cet esprit entre deux eaux :
-on ne prend qu’une fois le chemin de la mort petit ange.

Puis la douleur semblable à un tremblement de terre secoua de spasme ce corps inerte vrillant son coup , déchiquetant ses entrailles, incendiant son esprit , réanimant son cœur , l’aire en fusion pénétra de nouveau dans ces poumons, puis un cri , unique , singulier , plus précieux que l’or , le crie de la vie …



-Haaaaaa !
La tête d’Aisling* Baile*percuta violement l’écran de son ordinateur portable qui dans son sommeil s’était refermé sur elle. Le fracas d’objets percutant le sol lui firent ouvrirent les yeux un peu trop rapidement, l’univers nocturne de sa chambre se mis à se mouvoir de façon étrange. Les paupières de nouveau closent elle se força à calmer les battements désordonnés de son cœur…lorsqu’elle put sans risque ré-ouvrir les yeux elle se dirigea lentement vers sa fenêtre entre-ouvert, l’aire chargé de cristaux de glace lui fouetta délicatement le visage offert aux rayons argentés de la pleine lune alors à son zénith. La fenêtre close , l’ombres des arbres s’étirait menaçante sur le parquet ciré de sa chambre, adossée au mur elle s’abimait dans la contemplation de l’astre nocturne qui trônait fièrement dans le ciel de minuit.
Pionnière de son histoire, elle est la seule à ne l’avoir jamais trahis ni abandonnée, c’est sur elle que c’était ouvert ses yeux cette nuit la, s’y elle avait vraiment existée…
10 ans déjà que ce rêve la hantait, toute les nuits elle revivait cette résurrection, mais ce soir elle l’avait entendu, cette phrase qui depuis toujours lui échappait :
-On ne prend qu’une fois le chemin de la mort petit ange ...
Le murmure d’Aisling sembla s’élever quelque seconde dans les airs s’y gravant en filigrane à la manière d’une formule d’arcane oubliée des hommes.
Frissonnante elle repartie s’asseoir devant son ordinateur, le ralluma pour poursuivre l’écriture de l’histoire qu’elle tentait depuis plusieurs nuit de formuler.
Le sommeil commençait lentement à la gagner lorsque s’étirant elle laissa glisser son regard sur l’extrême droite de son écran , qui lui renvoya le contour délicat de ses épaules et celle d’une ombre statique dans son dos . Aisling tourna vivement la tête pour ne rencontrer que la forme massive de sont lit à baldaquin mais quand elle reposa sont regard sur l’écran l’ombre était belle et bien la, assise sur sont lit aussi immobile que le marbre qui semblait la constituer…
La jeune femme tentant le tout pour le tout et se précipita vers l’interrupteur de son plafonnier prés de la porte, mais avant qu’elle ne l’atteigne une main puissante vint la cueillir par la taille. Dos à l’ombre Aisling ne sentait que la morsure de sa peau à travers sa chemise de toile blanche.


…belle soirée n’est pas ?
Aisling :…
… : et bien petit ange on a perdu sa langue !

petite ange !
Cette appellation lui fit l’effet d’un coup de poignard : cette phrase, cette voix, cette peau, cette nuit ! La nuit ou son père médecin avait retrouvé cette gamine de 10 ans inconsciente devant sa porte et ou ne pouvant avoir d’enfant il décida de l’adopter !

Aisling : cette nuit…ce rêve …n’en ai pas un c’est un souvenir !
Et c’est vous, vous qui m’avez sauvée !ho mon dieu ! Mais alors …ho… tout est vrai ces ombres, ces voix que leurs font ils ? … mais alors ces gens m’on … laissée pour morte ! Qui !pourquoi ?!
… : du calme chaton tu me donne faim. Je suis venue ce soir comme tout les soirs de tout les ans à cette même période mais cette fois j’ai un message pour toi , une invitation du destin : Quand au sein de l’agneaux ce cache un loups , la mort comme une amante marque ces pas , l’union des deux mondes incarné est en marche , ni ange , ni démon ,faible et forte à la fois mais qu’on t’il crée … à toi de le découvrir…bonne nuit mon ange …
Aisling : non ! Ne pars pas ! Je vous retrouverais vous et ces hommes qui on voulu me tuer ! Je découvrirais pourquoi ! Et qui je suis !
… : la roue du destin est en route à bientôt mon ange …l’ordro annulo te guidera …
Aisling : l’ordro annullo ? Qu’est ce que…


L’ombre lui déposa un léger baiser sur le front avant de disparaitre dans l’ombre de la lune, la jeune femme s’effondra inconsciente sur ce lit dans lequel elle se réveilla le lendemain matin bien décidée à postuler de grés ou de force à ce mystérieux ordro annullo clés de son passée et peut-être même de son avenir !


*Prénom signifiant rêve
*prénom irlandais signifiant folie