Nom; Dawn Sinclair
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Âge; 15 ans
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Physique; Dawn est de petite taille, environ 1m55. Elle a des cheveux noirs qui lui arrivent juste en dessous des épaules et qu’elle noue généralement en haute queue de cheval. Ses grands yeux bleu nuit reflètent sa candeur et son innocence. Elle a la peau pâle, presque translucide de la jeune fille qui n’a vu que rarement le soleil et qui ne mange pas à sa faim. Quand on la regarde, elle paraît frêle et fragile, on a envie de la protéger comme une enfant. Ce sentiment est amplifié par les vieux vêtements qu’elle porte : un T-shirt bleu délavé sur lequel est dessiné un ours en peluche serrant un cœur rouge dans ses pattes et un pantalon blanc tâché et élimé au niveau des genoux.
Psychologique; Dawn est une jeune fille naïve. Les gens, qu’elle n’a fréquentés que de loin par le passé, l’effraient autant qu’ils la fascinent. Comme elle n’a pas été à l’école, elle a tendance à prendre tout ce qu’on lui dit pour argent comptant donc elle a tendance à se faire embobiner assez facilement. Elle n’a pas un tempérament de meneuse, bien au contraire. Quand on lui dit quoi faire, il n’y a pas de problème, mais quand il faut qu’elle agisse par elle-même, c’est une autre histoire. Elle n’a jamais entendu parler des vampires donc, pour elle, il s’agira de personnes comme les autres, des amis potentiels.
Histoire; Dawn fut abandonnée à la naissance par une mère trop jeune pour s’en occuper. Récupérée derrière les poubelles d’un lycée populaire par les services sociaux, elle fut placée en orphelinat où elle vécue six ans. Un vieux couple stérile décida d’adopter la fillette pour, non pas la couvrir d’amour et de chaleur, mais pour s’occuper du ménage de l’hôtel miteux qu’ils possédaient. L’avarice de ses nouveaux parents l’empêchait d’aller à l’école. Il fallait qu’elle rembourse ses repas en entretenant les chambres. Frotter, frotter, tel était le quotidien de Dawn. Pas de repos, pas d’amis, elle était vraiment seule. Un matin comme les autres où elle sortit les poubelles trop lourdes pour elle, elle se mit à rêver d’espace, de liberté. Comme un automate, elle abandonna ses poubelles sur place et regroupa ses maigres affaires sur son petit. Elle noua son drap pour en faire un baluchon et partit sur la pointe des pieds alors que ces parents ronflaient encore. A force de vagabondage et de petits vols à l’étalage, elle arriva à Montréal de nuit. Ce qu’elle y vit la fascina tant qu’elle décida d’y rester quelques temps.